L’Australie
c’est grand, plus grand que nos deux petites cervelles l’avaient imaginé. Du
coup, on roule comme des porcs jusqu’à un petit cap parc naturel dans lequel il
est même interdit de ramasser du bois mort de peur de bouleverser à tout jamais
cet écosystème si fragile. Bien entendu, le camping est sans douche mais
garanti en bio-moucherons écologiques.
Malgré
ces saloperies de merdes d’insectes pourris qui ont marqué durablement la peau
de Vincent d’une multitude de pustules répugnantes le faisant ressembler au
psychopathe dans Marie à tout prix, ce cap nous laisse découvrir des plages de
toute beauté, sur lesquels affleurent des rochers de coraux solidifiées. C’est
aussi dans ce sanctuaire de la nature que Guillaume fait sa première rencontre
avec un des plus nobles représentant du règne animal : le concombre de
mer.
Après
un nouveau coucher de soleil sur la mer (c’est un peu la spécialité locale en
fait), nous nous endormons bercés par le doux ronronnement du groupe
électrogène d’un voisin éco-campeur.
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